Lors d'un cours de philosophie, le professeur posa un grand bocal transparent de 5 litres sur la table.
Il le remplit de grosses pierres, une à une, jusqu'au bord.
Il sourit et y versa des petits cailloux. Ils se glissèrent dans les interstices entre les pierres.
« Et maintenant ? »
« Oui ! Maintenant, il est plein ! » rirent-ils.
Il ajouta ensuite du sable, qui remplit jusqu'au dernier espace.
« Plein ? »
« Absolument ! »
Enfin, il prit un verre d'eau et le versa. Le bocal l'absorba entièrement.
Puis il dit :
« Ce bocal, c'est ta vie. »
Ce sont les pierres qui comptent vraiment : tes proches, ta santé, ta paix.
Même si tout le reste disparaît, avec elles, la vie est toujours pleine.
Les cailloux sont les choses importantes : ton travail, tes objectifs, ta stabilité.
Le sable, ce sont les petites choses : les distractions, le bruit, les tâches infinies.
Si vous remplissez d’abord votre vie de sable, il n’y aura pas de place pour ce qui compte vraiment.
Une étudiante a levé la main et a demandé : « Et l’eau ? »
Le professeur a souri :
« L’eau nous rappelle que même lorsque la vie semble bien remplie, il y a toujours de la place pour quelque chose de simple, de joyeux et de léger.
Un sourire. Une promenade. Un café tranquille avec quelqu’un qu’on aime. »
Commencez par les grandes choses.
Tout le reste s’adaptera à elles.

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